Le manuscrit est copié dans une textualis fluide et doté de rubriques et de lombardes à l'encre rouge. La numérotation des cahiers, en tête de ceux-ci, en bas à droite et en rouge, est due à la même main : de II (p. 23) jusqu'à XXXIX (p. 731). La numérotation des pages présente une erreur significative : 1-501, 511-742; p. 614-615 pages blanches. Le codex comprend la partie hivernale du bréviaire, soit le Proprium de tempore du premier dimanche de l'Avent jusqu'à la Pentecôte et la fête de la Trinité (p. 1-559), ainsi que le Proprium de sanctis (p. 559-742) de la fête de l'apôtre André (30 novembre) à celle de saint Pancrace (12 mai), dont la fête de sainte Wiborada (p. 716-725). Le manuscrit ne montre aucune trace d'utilisation ni d'ajout. Sur la dernière page (p. 742) se trouve le timbre de la bibliothèque de l'abbé Diethelm Blarer de la période de 1533 à 1564. La reliure en bois couverte de cuir rouge date du XIVe ou du XVe siècle.
En ligne depuis: 25.04.2023
Contrairement à la datation de Scherrer, ce missel ne date pas du XIVe siècle, mais de la première moitié du XVe siècle. A côté d'une image canon en pleine page (p. 179), le décor consiste d'une part en initiales filigranées (p. 77b, 413a, 434a etc.) et d'autre part en initiales zoomorphes ou historiées. Par exemple, on trouve pour le jour de Noël une initiale en forme de dragon contenant la Nativité (p. 12a) et pour la Dedicatio huius monasterii une initiale avec un homme dans un arbre (p. 92a). Les nombreuses séquences de ce missel méritent d'être soulignées. D'après la marque de possession à la page 1, Sanctorum Iohannis Baptiste et Evangeliste, ce manuscrit a été conservé au moins jusqu'au XVIIIe siècle au couvent St. Johann im Thurtal.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le volumineux manuscrit a été copié dans une textualis au XIVe siècle. Des lombardes rouges et bleues, des rubriques et des abréviations rouges articulent le texte sur deux colonnes ; quelques initiales filigranées rouges et bleues marquent les parties et les fêtes les plus importantes du bréviaire. Il débute par les vêpres de la veille de Pâques (p. 1a), soit le samedi saint, et se termine (p. 807a-817b) par la fête de saint Conrad (26 novembre). Viennent ensuite une lecture In nocte sancte Anne (p. 817b-819b) et quatre lectures In divisione apostolorum (cf. p. 433b, p. 457b) comme ajouts de la main précédente, et enfin une rubrique Passio sancti Placidi martyris, sociorum eius 35 martyrum prima [?] lectio [?] ajoutée par une autre main postérieure, du XVe siècle. Parmi les fêtes de saints, se trouvent celle de saint Gall (p. 662a) avec son octave (p. 708a), ainsi que celle de saint Otmar (p. 759b) avec son octave (p. 789b). Sur la p. 666 on trouve le timbre de la bibliothèque de l'abbé Diethelm Blarer de la période de 1553 à 1564. La reliure en bois remonte au XVe ou XVIe siècle et le cuir la recouvrant est estampé à froid. Les fermetures et les ferrures d'origine sont manquantes. Sur les contreplats antérieurs et postérieurs se trouvent des empreintes des feuilles de garde aujourd'hui détachées, ainsi que d'autres fragments collés. Avant et après les feuillets en parchemin, deux pages en papier (p. A-D) et une autre page (p. Y-Z) ont été ajoutées et reliées avec le reste. La pagination est incorrecte : A-D, 1-155, 155a, 156-433, 435-621, 623-819, Y-Z.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le bréviaire débute par le psautier (p. 1a-111b) avec les cantica, Pater noster, Credo, Quicumque vult et les litanies (p. 111b-129b), puis le Proprium de tempore (p. 130a-533a) du premier dimanche de l'Avent jusqu'au 25e dimanche après la Trinité dont la Dedicatio ecclesiae (p. 524a), et finalement le Proprium de sanctis (p. 534a-839b) et le Commune sanctorum (p. 840a-841b), qui, incomplet, s'interrompt à la fin de la dernière page. Le manuscrit est copié en textualis du XIVe siècle et orné de nombreuses initiales filigranées rouges et bleues. Le nom de sainte Catherine (p. 125a), le seul qui se distingue dans les litanies, ainsi que les fêtes de Pierre de Vérone (p. 632a), la Translatio sancti Dominici (p. 647b, 648a), de saint Dominique (jour de sa mort) (p. 709a) et de sainte Catherine (p. 828b, 830b), indiquent que le bréviaire était destiné à un couvent de dominicaines de sainte Catherine, probablement celui de Saint-Gall (plus tard à Wil). La note de possession du XVIIe siècle, Monasteriae [!] s. Catharinae, rédigée par une main identique par exemple sur le contreplat antérieur du manuscrit M 3 du couvent des dominicaines de Will, démontre que le bréviaire provient de ce couvent. La reliure en cuir sur ais de bois est ornée à l'avant et à l'arrière à roulette et d'un fer unique avec la tête du Christ. Elle porte sur le plat antérieur la date de 1591 estampée à froid.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le manuscrit sur papier contient des lectures brèves (capitula), des collectes (collectae), des prières, des hymnes, des antiennes et des répons pour la prière des heures tout le long de l'année avec le Commune sanctorum. Ce « collectaire étendu » a été copié – probablement au cours du XIVe siècle – dans une textualis fluide avec des rubriques en rouge. Il montre à plusieurs endroits de fortes traces d'utilisation, avec les bords des pages déchirés ou brunis. A la page 25 se trouve le timbre de la bibliothèque de l'abbé Diethelm Blarer entre 1553 et 1564. La reliure en bois remonte au XIVe ou XVe siècle. Sur les contreplats se trouvent des impressions en négatif de fragments en hébreu.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le petit volume comprend des fragments liturgiques des XIIe et XIIIe siècles. Ils proviennent de six manuscrits différents (principalement de bréviaires/psautiers), dont sont conservées soit plusieurs pages, soit seulement quelques lignes. Le premier fragment (f. 12r-34v) est en latin, mais avec des rubriques en allemand, ce qui indique que le bréviaire devait être à usage privé. Selon une note autographe au fol. Ar, Ildefons von Arx a probablement composé ce volume.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le tout petit psautier, destiné à un couvent dominicain, débute par un calendrier lacunaire (fol. Er-Iv ; la page avec les mois de janvier et février a été arrachée). Après les psaumes (fol. 1r-182v) viennent les cantica vétéro- et néotestamentaires (fol. 183r-193r), le symbole d'Athanase Quicumque vult (fol. 193r-194v), ainsi que des litanies ajoutées au XVe siècle (fol. Ur-Wr). Des initiales bleues et rouges, certaines filigranées, constituent l'ornement du manuscrit. Les pages de garde antérieures et postérieures sont des fragments plus anciens en parchemin, les contreplats des fragments d'un document du XVe siècle. Comme Catherine de Sienne n'apparaît pas dans le calendrier, le psautier doit avoir été réalisé avant 1460. Il se trouve à la Stiftsbibliothek au plus tard depuis le XVIIIe siècle.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le bréviaire a été copié en bâtarde par une seule main, probablement celle d'un conventuel de l'abbaye de Saint-Gall. Il contient en plus des parties habituelles d'un bréviaire complet (calendrier, psautier férial, Proprium de tempore [incomplet], Proprium de sanctis et Commune sanctorum), des prières mariales, la liturgie pour complies et l'office des morts, un Cursus B. M. V., des suffrages, et d'autres prières.
En ligne depuis: 25.04.2023
Les 974 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell d'avril 1560 à avril 1571. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
En ligne depuis: 25.04.2023
Les 300 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell d'avril 1571 à octobre 1574. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
En ligne depuis: 25.04.2023
Les 488 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell de novembre 1574 à novembre 1582. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
En ligne depuis: 25.04.2023
Les 588 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell d'octobre 1582 à mars 1591. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
En ligne depuis: 25.04.2023
La première partie de ce volume (p. 1-214) contient les entrées et les sorties du canton d'Appenzell d'avril 1591 à avril 1597. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division. La deuxième partie (p. 215-528) comprend des brouillons de lettres sortantes et des transcriptions de lettres entrantes de 1659 à 1687. A partir de la p. 529, les pages ont été arrachées et il ne reste tout au plus que des fragments.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le psautier copié au XIIIe siècle montre de fortes traces d'utilisation. Selon un « mode d'emploi » sur la page de garde postérieure qui exige que le psautier soit laissé dans le chœur pour que chaque sœur puisse le lire, il est issu d'un couvent féminin. Comme dans le calendrier, sainte Catherine est particulièrement mise en valeur, il pourrait provenir du couvent des Dominicaines de St. Katharina à Saint-Gall. Son décor consiste en des initiales filigranées rouges et bleues. En outre, la division liturgique en huit parties et en trois du psautier est marquée par des initiales peintes, certaines en argent et en or. Après les psaumes, suivent à partir de la p. 240 des cantica bibliques, le Credo, le Te Deum, le Symbolum Athanasianum et une litanie. Quelques feuillets ont été remplacés au XVe ou entre le XIVe/XVe siècle (p. 95-98, 257-264). Deux cahiers d'un bréviaire de la même main que les pages 257-264 sont reliés après la litanie (p. 269-288). De plus, un calendrier incomplet (juillet à décembre), avec les noms des mois en allemand (p. 1-12), copié par la même main, a été relié au psautier. A l'origine le calendrier devait être composé de deux cahiers, dont il ne reste que le dernier folio du premier cahier et le deuxième cahier en entier. Sur la page de garde antérieure se trouve l'ex-libris du prince-abbé Beda Angehrn (abbé de 1767 à 1796).
En ligne depuis: 14.12.2022
Le manuscrit contient les lettres pauliniennes avec les trois prologues des Epîtres aux Romains (Stegmüller, Repertorium Biblicum, n° 650, 674 et 677 ; p. 1), la Glossa ordinaria et d'autres gloses. L'Epître aux Hébreux s'interrompt sur He 4,16. Le codex, qui présente une reliure romane, a probablement été copié vers la fin du XIIe siècle, peut-être à Saint-Gall.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le missel a vraisemblablement été copié pour le Grossmünster de Zurich (suivant la comparaison avec le Liber ordinarius du Grossmünster) ; il contient le Proprium de tempore, le Proprium de sanctis (avec les principales fêtes zurichoises), le Commune sanctorum et des messes votives. Les chants sont systématiquement écrits en plus petits caractères, mais seules quelques pages ont des mélodies avec une notation neumatique. Le Canon missae (p. 73-83) débute par une image simple du canon. A cette exception, le décor se limite à des lombardes rouges pour la plupart hautes de deux lignes.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le missel, copié sur du fin parchemin, pourrait provenir d'un couvent de dominicaines dédié à sainte Agnès, étant donné les saints particulièrement mis en valeur par le calendrier (p. 6-17, les mois sont dans le désordre). Le Canon missae (p. 193-204) est introduit par une image du canon de très belle facture, dont la ressemblance avec la crucifixion du couvent des Dominicains de Constance a été soulignée par les historiens de l'art. Une réalisation du manuscrit dans le diocèse de Constance demeure toutefois improbable, puisque dans le calendrier il manque, entre autres, Gall et Otmar ; le calendrier de fait indique plutôt une provenance strasbourgeoise. Le missel est richement orné d'initiales filigranées rouges et bleues. Il y a à la p. 18 un Exorcismus salis et aquae, et à la fin du Commune sanctorum des messes votives (p. 426-446), puis des séquences (p. 447-461). Le manuscrit se trouve à Saint-Gall au plus tard depuis le XVIe ou le XVIIe siècle (note de possession à la p. 5).
En ligne depuis: 14.12.2022
La bible de poche, probablement copiée à Paris, comprend l'Ancien Testament avec 16 prologues de Jérôme aux différents livres bibliques. A la fin, au moins cinq feuillets ont été arrachés à partir de 1 Mac 4, 38. Le parchemin d'une finesse exceptionnelle est de très haute qualité. Les pages présentent tout au long du manuscrit des titres en colonnes et des numéros de chapitres en deux couleurs, rouge et bleu. Le décor consiste en des initiales filigranées et d'autres simples, dont certaines avec des représentations figuratives : p. 9 (création), p. 137 (Moïse), p. 435 (David avec une harpe), p. 446 (David), p. 450 (fou), p. 470 (David), p. 482 (Salomon). Dans les psaumes, la division en 8 parties du psautier est particulièrement mise en valeur par les initiales peintes.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le manuscrit contient le commentaire d'Anselme de Laon († 1117) sur les psaumes (attribution suivant Stegmüller, Repertorium Biblicum, n° 1357 ; ailleurs le texte est attribué à un certain Haimo). Aux pages 245-253, se trouve un commentaire sur la petite doxologie et sur les cantiques vétérotestamentaires pour les laudes, qui est dû soit à Anselme, soit à l'un de ses élèves, Gilbert de Poitiers († 1155) (Stegmüller, RB 1357, 1 ou 2530). Quelques pages contiennent des gloses marginales plus longues. L'ornementation du livre se limite à des lombardes hautes de deux à trois lignes et quelques rares rubriques. A la page 254, se trouve le timbre de la bibliothèque remontant au temps de l'abbé Diethelm Blarer (1553-1564).
En ligne depuis: 14.12.2022
Le codex copié par une seule main (p. 236 : hexamètre nommant le scribe Cuonradus) contient principalement des sermons pour l'ensemble de l'année liturgique (p. 1-236 : sermones de tempore, p. 239-285 : sermones de sanctis). A partir de la p. 287, quelques chapitres du Liber miraculorum d'Herbert de Clairvaux († vers 1198) concluent le manuscrit. Le décor se limite à des lombardes rouges, de trois lignes de haut pour la plupart.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le petit manuscrit contient un commentaire sur l'Apocalypse dû à Anselme de Laon, mort en 1117 (Stegmüller, Repertorium Biblicum, n° 1371). A l'exception d'une lombarde rouge haute de 4 lignes au début du texte, il n'y a aucun décor. A la page 50 se trouve le timbre de la bibliothèque remontant au temps de l'abbatiat de Diethelm Blarer (1553-1564).
En ligne depuis: 14.12.2022
Le manuscrit, dont la reliure remonte à l'abbatiat de Ulrich Rösch (1463-1491), se compose de deux parties. La première (p. 3-166), datant de la fin du XIIe siècle et probablement copiée dans le sud de l'Allemagne, comprend le dernier tiers du commentaire sur les psaumes (ps. 109-150) de Pierre Lombard († 1160). La deuxième (p. 167-308), réalisée au XIIIe siècle et peut-être transcrite à Saint-Gall, contient des sermons et des traités, la plupart de Bernard de Clairvaux († 1153). Dans ce recueil, à côté de quelques grands sermons liturgiques, s'en trouvent d'autres qui ne sont pas de Bernard, dont six sermons de Nicolas de Clairvaux († après 1175). Les sermons aux p. 167-292 sont répartis selon l'année liturgique (de tempore et de sanctis). Un sermon issu des Sermones diversis de Bernard est ici associé à la fête de saint Gall (p. 268-270). Aux pages 292-298 se trouve la deuxième partie du traité De gradibus humilitatis et superbiae de Bernard de Clairvaux ; quelques chapitres, en particulier les premiers et les derniers, sont fortement abrégés. Les dernières pages (p. 298-308) comprennent des courts sermons et traités qui sont, au moins pour certains, attribués à Bernard.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le manuscrit, qui est relié dans une reliure bleu-gris en carton du XVIIIe/XIXe siècle, se compose de deux parties copiées à des périodes différentes. La première partie (p. 3-120) contient un graduel dont il manque le début (il commence le mercredi suivant le troisième dimanche de l'Avent), copié au XIIIe siècle. Les mélodies sont indiquées par des neumes sans portée. Les dimanches après Pentecôte sont suivis par des versets d'Alleluia (p. 118-120). La deuxième partie (p. 121-186) avec des séquences sans mélodie date du XIVe siècle. A deux endroits du codex a été inséré un cahier d'un graduel probablement copié au XIIIe/XIVe siècle : p. 11-26 (au milieu de l'introït de la fête des Saints Innocents) les chants du propre pour le premier dimanche de l'Avent jusqu'au premier dimanche après Noël ; p. 159-174 (au milieu de la séquence de Tous les saints) les chants pour le temps allant du mercredi après le troisième dimanche du carême jusqu'au samedi saint.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le bréviaire, dont la fin manque, commence avec le Proprium de tempore du 1er dimanche de l'Avent jusqu'au samedi après le 3e dimanche après Pâques (p. 1-384). Il est suivi par le Commune sanctorum (p. 384-386), le Proprium de sanctis de Tiburtius et Valentianus (14 avril) jusqu'à Primus et Felicianus (9 juin), avant que le Proprium de tempore ne se poursuive avec le 4e dimanche après Pâques. Le bréviaire s'interrompt au milieu du 5e dimanche après Pâques. Comme il n'y a pas quatre lectures par nocturne les dimanches ainsi qu'il est d'usage dans l'ordre bénédictin, mais seulement trois, il ne peut venir à l'origine de l'abbaye de Saint-Gall. Le codex, qui montre de fortes traces d'utilisation, a été copié par plusieurs mains sur un parchemin épais avec de nombreux trous, parfois réparés avec des coutures. De nombreuses pages ont été coupées en-dessous du cadre de justification. Les antiphons et les répons sont surmontés par des neumes sans portée, reportés par différentes mains. L'ornement du manuscrit se compose de lombardes rouges et d'initiales, dont quelques-unes zoomorphiques (p. 172 : dragon ; p. 217 : oiseau à deux têtes ; p. 231 : dragon). De nombreux fragments d'un manuscrit liturgique de la fin du Moyen Âge servent d'onglets de renforcement des cahiers.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le manuscrit comprend les lectures pour les nocturnes des matines, de l'office de nuit, pour les dimanches, les jours de fêtes et les jours ouvrables. Il comprend le Proprium de tempore du premier de l'Avent jusqu'à la fin de l'année liturgique (y compris les fêtes des saints entre Noël et l'Epiphanie). Comme le matutinale ne contient pas quatre lectures par nocturne les dimanches ainsi qu'il est d'usage dans l'ordre bénédictin, mais seulement trois, il ne peut venir à l'origine de l'abbaye de Saint-Gall. Un certain nombre de notes complémentaires du XIVe ou XVe siècle se situent sur les marges des p. 233/234 pour la fête de la Trinité. Le décor du codex est constitué de lombardes rouges et d'initiales simples, certaines avec des filigranes esquissées (par ex. p. 75). Le parchemin est constellé de trous, parfois réparés avec des coutures. De nombreuses pages ont été coupées en-dessous du cadre de justification. Une bande de renforcement provenant d'un manuscrit liturgique du XIe siècle est reliée autour du premier et du denier cahier du codex (la moitié de la bande entourant le dernier cahier est paginée comme p. 414/415). Sur le contreplat antérieur se trouve l'empreinte d'une page d'un psautier du XIIIe siècle, sur le contreplat postérieur celle d'un sacramentaire (?) du XIe siècle.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le volume comprend « année après année tout ce qui s'est passé de remarquable dans cet établissement [le Collège de Porrentruy] depuis 1588 à 1771 » (p. 1). Tels sont les mots qui figurent sur la page de titre de ce manuscrit en papier, qui livre en outre des informations sur sa provenance. Propriété du père jésuite Voisard (1749-1818), le manuscrit fut légué à sa mort à Henri Joliat (1803-1859) qui l'a déposé en 1856 à la bibliothèque du Collège de Porrentruy. Le texte débute en 1588, avec la fondation du collège dirigé par les jésuites, pour s'achever dans ce volume en 1661. Les années suivantes sont traitées dans un deuxième volume, MP 4-2. Ces extraits d'annales sont vraisemblablement la traduction française abrégée du volume latin de la bibliothèque cantonale jurassienne (A2597).
En ligne depuis: 14.12.2022
Le manuscrit en papier contient la suite des « Extraits des annales du Collège de Porrentruy » (MP 4-1). Il débute en 1662 pour se terminer en 1762. Il s'achève donc un peu avant ce qu'annonce la page du titre du premier volume (MP 4-1, p. 1).
En ligne depuis: 14.12.2022
Si la page de titre de ce manuscrit en papier indique « Éphémérides de la ville de Porrentruy, commencées en janvier 1855, Vautrey prêtre » (p. V3), ce titre ne se réfère qu'aux huit premières pages de cet épais volume (p. 1-8). La plus grande partie de l'ouvrage contient des « Notes sur l'ancien Évêché de Bâle » (p. 9-473), suivie d'extraits des « Annales du monastère d'Augiae divitis » (Reichenau) d'après un manuscrit en latin appartenant aux bénédictins de Delle (p. 476-502). L'auteur de ce volume, Louis Vautrey (1829 Porrentruy – 1886 Delémont), accomplit à côté de ses différentes fonctions ecclésiastiques un important travail d'historien, dont témoigne par exemple la publication en deux volumes de l'Histoire des évêques de Bâle (1884-1886) qui s'appuie, en partie du moins, sur le présent manuscrit.
En ligne depuis: 14.12.2022
Décrit par Gustave Amweg comme les Mémoires d'un Jurassien, ce manuscrit sur papier, qui appartenait à l'école cantonale de Porrentruy, comprend deux parties distinctes. La première comporte des comptes en allemand, répartis mensuellement, allant de 1670 à 1672 (p. 1-177). La deuxième (p. 181-358), rédigée en français, est le journal d'un homme – non identifié – écrit à la première personne, qui rapporte ses occupations au jour le jour (temps passé à l'étude, copies de lettres, poésies, etc.), ainsi qu'entre autres le récit d'un voyage de France en Italie.
En ligne depuis: 14.12.2022
Jean Jacques Joseph Nicol, un cordonnier de Porrentruy (1733-1822), est l'auteur de ce journal divisé en deux parties, la première allant de 1760 à 1771 (p. 7-71), la seconde de 1795 à 1809 (p. 73-88), deux périodes complètement distinctes du point de vue politique (appartenance à l'Évêché de Bâle et période française). L'intérêt de ce journal tient à la profession d'artisan de Nicol qui donne à voir à côté des grands évènements historiques, d'autres plus quotidiens. Ce manuscrit est une copie du journal de Nicol réalisée par Joseph Trouillat (1815-1863) comme le consigne l'étiquette collée sur sa couverture. Professeur au Collège de Porrentruy, Trouillat s'occupe de la bibliothèque. Sans doute est-ce dans le cadre de ses recherches historiques qu'il copie ce journal, dont il existe une édition parue sous le titre Notes et remarques de Jean-Jacques-Joseph Nicol (Porrentruy, Société typographique, 1900).
En ligne depuis: 14.12.2022
Marcel Moreau (Delémont 1735-1804), l'auteur de ce manuscrit, entra à l'abbaye cistercienne de Lucelle en 1755, où il enseigna la théologie, puis plus tard à Hauterive, ainsi qu'à Neubourg (en Alsace). Ayant refusé de prêter le serment constitutionnel au moment de la Révolution (1791), il se réfugia à Hauterive, puis fut nommé directeur des bernardines de La Maigrauge. Il rédigea au cours de ces années des mémoires sur les événements contemporains, comme en témoigne ce manuscrit décrivant ce qui se passe entre le 21 avril 1792 (p. 5) et le 27 janvier 1793 (p. 138). L'index final (p. 139-150-s2) organisé chronologiquement établit la correspondance entre les dates et les événements relatés et renvoie aux pages respectives du manuscrit.
En ligne depuis: 14.12.2022
L'auteur du texte de ce manuscrit est le bourgeois et notaire de Porrentruy François-Joseph Guélat (1736–1825), principalement connu pour ses mémoires sur la vie jurassienne pendant la période révolutionnaire (cf. MP 15 / A1451-1-3). Si l'on en croit la pagination ancienne de cet ouvrage, ainsi que la table des matières ajoutée probablement au moment de la reliure (p. 169-170), celui-ci est incomplet. La copie est très soignée, le texte sur une colonne est bordé par un cadre tracé au crayon, et les titres des chapitres sont élégamment calligraphiés à l'encre. Il ne s'agit pas du manuscrit autographe de Guélat, mais d'une copie postérieure, réalisée après 1838, comme le suggère cette date associée au nom de Charles Roedel (le copiste ?) inscrite dans une pyramide inversée à la suite de la liste des évêques de Bâle (p. 148).
En ligne depuis: 14.12.2022
Selon la préface (p. 5-8), le Jésuite François-Humbert Voisard (1749-1818) rédige avec l'Abrégé la première histoire en français sur les évêques de Bâle qu'il destine à ses élèves. Entièrement centré sur l'histoire ecclésiastique de Bâle et de Porrentruy, le texte affiche son caractère pédagogique par sa structure : chaque chapitre est introduit par une brève question, à laquelle répond plus ou moins longuement le texte qui la suit immédiatement. D'après la Bibliographie du Jura bernois de Gustave Amweg, il existe cinq copies de l'abrégé de Voisard qui demeure inédit à ce jour. Le présent manuscrit est corrigé, annoté et se termine par un index des évêques et des institutions cléricales de l'évêché bâlois (p. 459-460). Sa provenance est documentée par les notes de possession inscrites sur le contreplat antérieur : « Ce livre appartient à Henri Joliat, étudiant en rhétorique. Porrentruy, le 3 mai 1819 / Et / Schwartzlin Père / et /à l'abbé Vautrey à qui il a été remis par M. l'abbé Marquis en 1813 ».
En ligne depuis: 14.12.2022
Il s'agit de l'une des cinq copies de l'Abrégé de l'histoire des évêques de Bâle dû au Jésuite François-Humbert Voisard (1749-1818), un manuel d'histoire construit sur le mode des questions/réponses et daté de 1781. A l'exception de l'adresse de la dédicace, la préface de ce volume reprend presque les mêmes termes que ceux d'un deuxième exemplaire appartenant aussi à la Bibliothèque cantonale jurassienne (MP 10 / A 3269). Il s'en distingue toutefois par l'absence d'annotation et de correction. De plus, la copie est incomplète, car elle s'arrête soudainement au début de la quatrième partie, consacrée aux évêques de Bâle et de Porrentruy (p. 360). Avant d'entrer en 1842 à la bibliothèque du Collège de Porrentruy, le manuscrit appartenait à un certain Quiquerez (contreplat antérieur), probablement Jean-Georges, maire et notaire de Porrentruy, puis à son fils Auguste (1801-1882), ingénieur, historien, archéologue et géologue jurassien, comme l'indique son ex-libris (p. V1).
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L'avocat de Porrentruy François-Joseph Guélat (1736-1825) est l'un des chroniqueurs les plus connus ayant décrit la vie jurassienne au moment de la Révolution. Divisé en trois volumes manuscrits, le texte a été édité en 1906 chez B. Boéchat et Fils à Delémont, sous le titre de Journal de François-Joseph Guélat 1791-1802. Le premier de ces trois volumes débute en 1791 et court jusqu'en 1793 (28 juillet). L'année est indiquée au haut de chaque page, au-dessus de la marge latérale gauche où sont mentionnés les jours et les événements relatés dans le texte adjacent.
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L'avocat de Porrentruy François-Joseph Guélat (1736-1825) est l'un des chroniqueurs les plus connus ayant décrit la vie jurassienne au moment de la Révolution. Divisé en trois volumes manuscrits, le texte a été édité en 1906 chez B. Boéchat et Fils à Delémont, sous le titre de Journal de François-Joseph Guélat 1791-1802. Le deuxième de ces trois volumes débute en 1793 et court jusqu'à la fin décembre 1795. Il adopte la même mise en page que le précédent, ce qui n'a rien d'étonnant puisqu'ils étaient solidaires à l'origine comme le montre l'ancienne pagination continue. De même, la longue table des matières finale se rapporte aux deux volumes (p. 125-163).
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L'avocat de Porrentruy François-Joseph Guélat (1736-1825) est l'un des chroniqueurs les plus connus ayant décrit la vie jurassienne au moment de la Révolution. Divisé en trois volumes manuscrits, le texte a été édité en 1906 chez B. Boéchat et Fils à Delémont, sous le titre de Journal de François-Joseph Guélat 1791-1802. Le troisième volume s'étend de 1796 à 1802, et se conclut comme le précédent (MP 15 / A1451-2) par une table des matières (p. 159-177).
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Ce maniable manuscrit en papier contient le traité sur l'Eucharistie du franciscain Marquard von Lindau. Il a été copié au cours du deuxième quart du XVe siècle par Nicolaus Sinister qui se nomme au folio 137r. Il pourrait s'agir de la forme latinisée du nom de Nicolaus Linck, qui était à cette époque prêtre à Owingen et Urnau sur la côte septentrionale du lac de Constance. Sur les pages laissées blanches à l'origine des premier et dernier cahiers, des mains postérieures ont ajouté des textes mystiques, dont un sermon qui est transmis uniquement dans ce manuscrit, autrefois attribué à Maître Eckhart (ff. 1v-6v), un chant spirituel de Heinrich Laufenberg du cercle des « Gottesfreunde » (ff. 6v-7v), ainsi qu'une légende versifiée « Das zwölfjährige Mönchlein » (ff. 139r-148r). Le volume, copié en cursive, est orné de lombardes rouges de deux ou trois lignes de haut placées en tête des chapitres. Eichenberger date la main qui copie le supplément A du troisième quart du XVe siècle ; dans le cas de la main du supplément B, elle reconnaît des analogies avec le manuscrit de Colmar, Bibliothèque de la ville, Ms. 305, provenant de l'atelier de Diebold Lauber, et datable de 1459.
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Le manuscrit en papier de grand format avec la traduction en allemand du commentaire sur les psaumes (Postilla super Psalterium) du franciscain Nicolas de Lyre est offert à la Stadtbibliothek en 1646 par Sebastian Grübel (note de donation au f. 2r). Contrairement à ce que l'on pensait jusqu'à présent, Heinrich von Mügeln n'est pas l'auteur de la traduction, mais plutôt un anonyme auquel on a donné le nom de « Österreichischer Bibelübersetzer », qui est aussi considéré comme l'auteur du « Klosterneuburger Evangelienwerk » (Stadtbibliothek Schaffhausen, Gen. 8). Le manuscrit, rédigé en haut alémanique nord-oriental, a été copié en cursive, vraisemblablement pendant le 3e quart du XVe siècle au sud de l'Allemagne, par deux mains au moins. L'ornementation se limite à des lombardes rouges, en partie filigranées (f. 178v), et à une initiale haute de 5 lignes avec une feuille verte et des fleurs (f. 2r).
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Les 300 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell de février 1540 à février 1544. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
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Les 366 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell de février 1544 à juillet 1548. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
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Les 304 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell de juillet 1548 à avril 1551. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
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Les 196 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell de mai 1552 à mars 1554. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
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Les 164 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell de mars 1554 à novembre 1556. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
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Les 220 pages en papier de ce volume contiennent les entrées et les sorties du canton d'Appenzell de novembre 1556 à mai 1560. Les registres comptables appartiennent aux sources les plus importantes pour la recherche sur l'histoire du canton avant sa division.
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Il s'agit d'un mémorandum non daté de la main de Heinrich Bullinger (1504-1575), le chef de file (antistès) de l'église réformée de Zurich, qui a pour titre « Variarum » (p. 3). La dénomination « Bullingeri Autographon » inscrite sur cette même page est clairement due à une deuxième main postérieure. Conformément au titre, ce manuscrit comprend une collection de notes portant sur différents thèmes ou loci théologiques en lien avec les quinze titres qui s'y rencontrent.
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Le manuscrit se compose de différents cahiers dont plusieurs présentent à la fin des marques de possession d'un certain Johannes Engler, chanoine de Sankt Leonhard (p. 140, 168, 304). Après le calendrier (p. 4-24) vient la Summa rudium (p. 25-140). Le cahier suivant (p. 143-168) comprend des décrets synodaux de l'évêque de Constance Marquart von Randeck (les décrets, pas la copie, sont datés de 1407, p. 165). Les prochains fascicules contiennent des méditations, des sermons, un vocabulaire latin-allemand (p. 290-304), des recettes et des textes en lien avec le calendrier, ainsi que différents courts textes sacrés et profanes, dont deux collections de fables (p. 141-144 et 266-275). Les cahiers s'ouvrent souvent avec le début des textes mais se terminent par des pages vides ce qui, avec les marques de possession et l'usure des feuillets extérieurs, fait penser qu'ils ont été utilisés pendant un certain temps sans être reliés. La reliure en cuir du XVe siècle a conservé plusieurs boulons. Sur les contreplats, on distingue l'empreinte en négatif d'un document en allemand.
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Le manuscrit livre l'apparat de Vincentius Hispanus à la Compilatio tertia, rédigé entre 1210-1215, ainsi qu'une masse importante et stable de gloses pour éclairer une collection de décrétales du pape Innocent III. La particularité de ce codex tient au fait qu'il s'agit d'un exemplaire italien de cet apparat de gloses (sans le texte de la Compilatio tertia) datant du XIIIe siècle, qui est réalisé avec le système de pecia. De tels exemplaires à pecia servaient aux universités comme modèle approuvé pour la copie en série des textes de droit et de leur apparat de gloses.
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Le manuscrit débute par la somme de confession du dominicain Raymond de Penyafort († 1275), la Summa de poenitentia avec son 4e livre achevé en 1235, sous le titre de Summa de matrimonio. D'après le colophon (p. 246b), Johannes Meyer von Diessenhofen a copié ce texte entre le 26 août et le 8 novembre 1395. Immédiatement, ou peu après, le même scribe a transcrit deux autres sommes de confession du dominicain Jean de Fribourg († 1304), ainsi que quelques brefs ajouts. Le Libellus quaestionum casualium traite des cas qui ne sont pas, ou seulement rapidement, abordés dans la Summa de poenitentia de Raymond de Penyafort. Le Confessionale abrégé était conçu pour répondre aux besoins pratiques des confesseurs.
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La somme de confession du Magister Simon puise largement dans la Summa de poenitentia et la Summa de matrimonio de Raymond de Penyafort. Elle contient un acte d'accusation qui suggère une origine dans le diocèse de Paris vers 1250 ou un peu plus tard. Le manuscrit, copié par deux mains dans la deuxième moitié du XIIIe siècle ou dans la première moitié du XIVe siècle, se trouvait, selon la note de possession à la p. 1, au plus tard en 1478 à l'abbaye de Saint-Gall.
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Le manuscrit transmet principalement la Landgerichtsordnung (règles procédurales et pénales) pour la principauté abbatiale de Kempten datant de 1481, qui a probablement été copié à la fin du XVe siècle. Le codex a été utilisé par Ulrich Degelin, chancelier sous l'abbé Johann Erhard Blarer von Wartensee (1587-1594) et auteur d'une nouvelle Landgerichtsordnung pour Kempten. Il passa ensuite successivement entre les mains des juristes de Lindau, Johannes Andreas Heider († 1719) et Johann Reinhard Wegelin († 1764), avant que Johann Nepomuk Hauntinger ne l'achète entre 1780 et 1782 pour l'abbaye de Saint-Gall.
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La partie principale de ce manuscrit est formée par les vies des apôtres tirées de la Elsässische Legenda Aurea, une des versions importantes en allemand supérieur (oberdeutsch) du légendier de Jacques de Voragine (p. 1-259 ; largement semblable au choix de vies du Cod. Sang. 594). Elle est suivie par le traité mystique Christus und die sieben Laden (p. 260-277). Les deux derniers cahiers (p. 281-328) contiennent une collection d'extraits spirituels, la plupart mystiques (Maître Eckart, Jan van Ruusbroec) et, à la fin du codex, figure une prière d'indulgence à réciter devant une image de saint Grégoire (la promesse d'indulgence date de 1456, p. 326-328). Quelques pages plus tôt, une prière s'y réfère explicitement (p. 319-320). Scarpatetti suppose que la copiste est sœur Endlin du couvent des franciscaines de Sankt Leonhard de Saint-Gall. Par la suite, le manuscrit appartint à un certain Johannes Kaufmann (notes de possession p. 1, 277 et sur la tranche supérieure), puis à un frère lais du monastère de Saint-Gall (p. 328). Le décor est constitué de simples initiales rouges. La reliure en peau de truie colorée de rouge du XVe siècle possède un fermoir et six des dix boulons d'origine. On distingue quelques fragments servant d'onglet pour renforcer les cahiers (par ex. p. 52/53).
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Ce volumineux recueil a été copié par le prêtre séculier Matthias Bürer. Selon plusieurs colophons, il a travaillé à la transcription de ces textes entre 1448 et 1463 environ à Kenzingen (Bade-Wurtemberg) et à différents endroits au Tyrol. Le manuscrit contient entre autres plusieurs traités de théologie, une somme de confession, deux miroirs de confession, un ars moriendi, les Actes des apôtres avec la glossa ordinaria, des sermons, ainsi que les livres II-IV des Dialogues du pape Grégoire le Grand. Le codex est entré en possession de l'abbaye de Saint-Gall avec d'autres livres après la mort de Matthias Bürer en 1485 conformément à un arrangement pris en 1470.
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Le manuscrit a été réalisé au tournant du XVe siècle. Il comprend une collection d'actes et de formules pour les bénéfices et les tribunaux ecclésiastiques, les transactions financières et les ventes séculières, les fiefs et autres. Les notes finales du manuscrit désignent comme propriétaire Johannes Pfister von Gossau († 1433 ?), notaire impérial et clerc du diocèse de Constance, qui était au service de la ville et de l'abbaye de Saint-Gall. Par la suite, le manuscrit a appartenu au greffier de la ville de Saint-Gall Johannes Widembach († vers 1456), dont les armes figurent sur le contreplat postérieur.
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Le manuscrit sur papier en deux parties comprend deux œuvres théologiques qui, d'après les colophons, ont été copiées en 1392 et 1393. Il s'agit d'une part du commentaire de Johannes Müntzinger au Pastorale novellum de Rudolf von Liebegg, un manuel de doctrine sacramentelle ; d'autre part d'une explication systématique des fondements de la foi chrétienne que Konrad von Soltau a rédigée sous la forme d'un commentaire de la décrétale « Firmiter credimus ».
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Le volume in-quarto réunit différents textes, brefs pour la plupart. Il contient surtout des méditations spirituelles et des prières, dont un traité sur la Passion (p. 4-38), des oraisons pour la Passion (p. 68-84) et pour les heures canoniques (p. 88-91), un traité sur le péché originel (p. 92-107) et un autre intitulé quattuor gemitus turturis (p. 112-159) ; une Biblia pauperum rassemble les situations de détresse où certains saints peuvent être invoqués (p. 160-193). Parmi les textes spirituels, on en trouve également en allemand (par ex. p. 218-220, 238). Deux lettres se rapportent à Saint-Gall, l'une est adressée à l'abbé Eglolf (p. 40-43), l'autre à des moines qui ont fui à Saint-Gall (p. 85-88). D'autres textes traitent du concile de Constance et de la réforme monastique, ici aussi en rapport avec Saint-Gall (p. 239-250). Le dernier cahier, en parchemin, pouvant remonter au XIVe siècle, comprend une grammaire et des textes médicaux (p. 251-266). Le manuscrit est dans une reliure souple. Pour les onglets, un document en parchemin rédigé en allemand, dont on peut encore lire l'année 1415 et le nom, ulrichen leman burger ze arbon, a été utilisé.
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La reliure en carton du XVIIIe ou XIXe siècle renferme quatre parties manuscrites, à peu près contemporaines, de la 2e moitié du XVe siècle. Les parties I et III sont dues à la même main et fournissent des instructions et des exemples sur la manière de rédiger correctement des lettres et des actes en latin et sur l'utilisation des figures de style. La partie II contient un manuel de droit procédural de Johannes Urbach ; la partie IV une collection de lettres latines adressées au moine et pré-humaniste d'Einsiedeln Albrecht von Bonstetten, datant des années 1465-1480.
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La Summa de casibus conscientiae de Barthélemy de Pise (achevée en 1338) est l'une des sommes sur la confession de la fin du Moyen Âge la plus répandue. Elle doit son succès à son orientation pratique et à la mise en ordre alphabétique de mots clés issus du droit canonique et de la doctrine morale. La présente copie, datant du deuxième quart du XVe siècle, fait probablement partie de la donation de livres que le prêtre séculier Matthias Bürer prévoit de faire au monastère de Saint-Gall en 1470, et qui s'est réalisée après sa mort en 1485.
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Le manuscrit en papier du XIVe siècle contient une Interprétation de la messe du lecteur franciscain Martinus de Vienne. Cette copie très soignée, sur une colonne, a été effectuée par deux scribes dans une écriture livresque gothique régulière. Ce sont également les auteurs des nombreuses corrections et des notes marginales visibles tout au long du codex. Ce volume appartient au XVe siècle déjà à la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Gall comme en atteste la note de possession en allemand située au bas de la première page (p. 1).
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Le recueil appartenait au moine saint-gallois Gall Kemli, qui a fait relier les différentes parties de ce manuscrit dont certaines remontent au XIVe siècle, et qui les a entrecoupées de pages blanches, remplies par lui-même et d'autres copistes. C'est pourquoi on repère plusieurs mains et diverses mises en pages successives. Les plus longs blocs de textes sont une collection de sermons (Liber Sagittarius, p. 3-61), un miroir de confession (p. 71a-92b), des commentaires sur les hymnes et les séquences (p. 118-217b), ainsi qu'un recueil d'exempla d'histoire ancienne, certains issus des Gesta romanorum, qui a apparemment été compilé par Kemli lui-même (p. 226-357). La reliure en cuir date du XVe siècle.
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Le petit livre de prières comprend quatre unités textuelles plus longues, dont trois peuvent être définies comme des prières mariales : un court psautier où le verset initial des psaumes est combiné avec un Ave Maria (p. 5-35), une longue litanie de saints (p. 37-68), les « Joies de la Vierge » (p. 69-180) et un autre court psautier marial structuré comme le premier, mais qui utilise d'autres versets pour les psaumes au lieu des versets initiaux (p. 180-200). Le manuscrit est entièrement copié par une main exercée, rubriqué et orné d'initiales rouges et bleues. Le texte est précédé d'une double pleine page enluminée (p. 2 : Vierge à l'Enfant trônant ; p. 3 : Flagellation du Christ). Seule la mention de saint Abundius de Côme (p. 56) fait référence au possible lieu d'origine du codex. Scherrer suppose qu'il pourrait avoir été écrit en Italie pour des bénédictins ; Scarpatetti pense à une réalisation dans ou pour un chapitre de laïcs ou un couvent de femmes. Sur la page C se trouve une note de possession, probablement moderne, d'un certain Jodokus Graislios, qui est écrite en lettres grecques. Au XVIIIe siècle le manuscrit reçut sa reliure actuelle sans ornement, ainsi qu'une note de possession du couvent, plus tard incorporé à celui de Saint-Gall, de Sankt Johann im Thurtal, d'où il arriva à la bibliothèque abbatiale (p. 1).
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Destiné selon tout vraisemblance au couvent des dominicaines de Sainte-Catherine à Saint-Gall, le tout petit psautier (11 x 8 cm) révèle son orientation dominicaine dès le calendrier (f. 2r-7v), en y intégrant des saints de cet ordre, tels que Thomas d'Aquin ou Pierre martyr. Copié sur une colonne en textualis par une main régulière, le texte est rythmé par des initiales alternativement rouges et bleues, parfois filigranées et de tailles diverses selon les divisions textuelles (psaume, verset). En plus de notes latines, on repère dans les marges la présence d'instructions en allemand sur la façon de réciter les psaumes. Après la litanie des saints et des oraisons (f. 151r-159v) a été ajouté un cahier en papier, datant de la fin du XVe siècle, qui contient des hymnes (f. 160r-170v).
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Ce volumineux manuscrit contient un bréviaire pour les bénédictins. D'après Scarpatetti, il a été réalisé par un copiste professionnel dans un monastère de cet ordre, soit en Savoie, soit en Italie étant donné quelques mentions en lien avec Montecassino. L'écriture, une rotunda, et le décor, constitué d'initiales rouges et bleues filigranées de bleu et de violet, trahissent une même origine transalpine. De plus, une note rédigée en italien au XIVe siècle confirme cette provenance (p. 8). Si le manuscrit n'est officiellement attesté dans un catalogue de la bibliothèque de Saint-Gall qu'en 1827, l'ajout des premières pages en papier laisse supposer qu'il s'y trouvait dès le XVe siècle (A-H). En effet, à part diverses notes, un copiste du XVe siècle a complété le calendrier défectueux et y a inséré le nom de Notker vénéré en ce lieu (p. H).
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Le manuscrit de petites dimensions contient la partie d'été d'un bréviaire, copié dans une élégante textualis, probablement en France, comme le suggèrent des entrées du calendrier fragmentaire (par ex. les messes anniversaires du roi de France ou de la comtesse de Blois). A la fin du codex (f. 261v), des annotations en allemand, écrites probablement au XIVe siècle, et d'autres du XVe siècle relatives à saint Gall (f. 174v-175r), sont l'indice de sa présence précoce en territoire germanophone, à Saint-Gall. Différentes raisons, dont l'écriture d'une des mains postérieures, suggèrent que le manuscrit appartenait très tôt au couvent des dominicaines de Sainte-Catherine de Saint-Gall.
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Le manuscrit in-folio, copié par plusieurs mains sur des feuilles de papier à la mise en page variable, comprend, après une explication détaillée de l'année liturgique (Directorium spirituale, p. 3-205), principalement des sermons (p. 205b-211, 257-370, 375-414) et les Actes des Apôtres avec un commentaire (p. 213-255), puis une table de comput (p. 372-373) et quelques sentences sur les suffrages de Thomas d'Aquin. Le codex n'est pas entièrement rubriqué et ne contient aucune note de possession. Un colophon à la fin des Acta apostolorum indique l'année 1405 (p. 255). Reliure du XVe siècle où manquent les fermoirs.
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Le petit livret, en demi-reliure du XVIIIe siècle, réunit deux fascicules datant de siècles différents qui n'étaient sûrement pas reliés à l'origine. Le premier fascicule (p. 5-52) contient un seul texte, un traité sur les sacrements du dominicain Guillaume Rothwell. Celui-ci est copié par une seule main du XIVe siècle, réparti sur deux colonnes et entièrement rubriqué. Le parchemin est fortement gondolé à cause de dégâts d'eau. Le deuxième fascicule (p. 53-76) présente la Vie de sainte Brigitte de Suède. Le texte est copié sur une colonne par une main du XVe siècle, et seule la première page est rubriquée. La deuxième page de garde antérieure en papier est un fragment d'un bréviaire (p. 3).
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Le volume a été copié au XIVe siècle par plusieurs scribes. Soit son contenu avait été conçu de manière plus complète, soit il n'a pas été conservé dans son intégralité jusqu'à aujourd'hui. La table des matières (p. 3) et un bout de papier collé sur le contreplat antérieur avec une table des matières moderne dénombrent sept parties, dont il ne reste que quarte : extraits des vies des pères du désert en deux parties (p. 3-28 et 28-53), de la vie de Benoît par Grégoire le Grand (p. 53-79) et du Purgatorium Patricii (p. 80-91). Aux pages 92-95 figure un index de ces quatre parties. Suivent deux sermons du pape Innocent III (p. 96-111) et des passages d'autres sermons (p. 111-114). Sur les feuilles de garde avant et arrière en parchemin se trouvent plusieurs notes et indications de possession des XIVe et XVe siècles. D'après celles-ci, le codex appartenait au XVe siècle à la chapelle des lépreux de Saint-Gall. La demi-reliure médiévale a été réutilisée au XVIIe siècle pour une nouvelle reliure.
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Le volume in-folio avec la collection de vies de saints de Jacques de Voragine provient probablement des possessions personnelles du moine saint-gallois Gall Kemli. Il a en tout les cas été complété et corrigé de sa main. La mise en page n'est donc pas uniforme. La partie principale la plus ancienne, copiée par une main de la fin du XIVe siècle, est sur deux colonnes, tandis que les textes des feuillets ajoutés par Kemli sont copiés sur une colonne (p. 2-20, 164-189, 210-211, 445-462, 471-474). La Legenda sanctorum (p. 2-452) est complétée par la Materia de exorcismo et coniurationibus, ajoutée par Kemli (p. 456-470). Pour cette dernière, il y a des ajouts (p. 463-470) réalisés par une autre main de la deuxième moitié du XVe siècle, eux-mêmes complétés par Kemli (p. 470). Aux pages 471-473 se trouve enfin le dernier texte du manuscrit, la légende des onze mille vierges, copiée par Kemli. Avant le début de ce texte se trouvait un feuillet collé à mi-hauteur : il devait s'agir d'une gravure sur bois représentant le bateau de sainte Ursule qu'Ildefons von Arx a retirée (Kemli-Kat., Nr. 31). Sur le plat supérieur de la reliure en cuir du XVe siècle, réparée à plusieurs reprises, figure l'étiquette du titre transcrit par Kemli.
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Le volumineux manuscrit a été copié au tournant du XIVe siècle par une seule main au ductus un peu changeant. Il comprend une collection thématiquement ordonnée d'exempla et de méditations sur les vices et les vertus (p. 3-658), tirés probablement d'Etienne de Bourbon ou Humbert de Romans. Cette somme est accessible à travers un index établi par une main postérieure (p. 659-661) qui complète également la foliotation. Le manuscrit est entièrement rubriqué et comprend des lombardes bleues et rouges hautes de deux lignes. La page de garde antérieure est un fragment d'un document datant de 1295. La reliure en cuir rouge conserve des restes d'un fermoir médiéval.
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Le manuscrit in-folio ne contient qu'un seul texte, Gemahelschaft Christi mit der gläubigen Seele (version Es spricht ain haidischer maister es sy besser und nützer), un volumineux ouvrage d'édification pour les conventuels, encore inédit. L'auteur anonyme pourrait être un ermite augustinien, mais son œuvre a surtout été lue par des communautés spirituelles féminines. Le présent codex provient d'un tel environnement : il est daté et a été copié, sur la base d'une comparaison de l'écriture, par Angela Varnbühler, chroniqueuse et prieure au couvent Sainte-Catherine de Saint-Gall (colophon p. 842/843). A l'approche de la Réforme, la bibliothécaire Regula Keller envoya ce manuscrit avec un autre, aujourd'hui perdu, à la maison des sœurs d'Appenzell, ce dont témoigne la lettre accompagnant l'envoi de ces livres, collée à la page 2. De là, il parvint au couvent de Wonnenstein et en 1782 à la Stiftsbibliothek (note de possession de Pius Kolb, p. 4). Deux ajouts, datés de 1584, rapportent qu'un certain Hans Bart « a étudié le livre » (das Buoch gelernet, p. 1 et 845). Le texte copié sur deux colonnes est entièrement rubriqué. Le codex contient un signet, ainsi qu'une page d'un bréviaire imprimé dans l'officine d'Erhard Ratdolt à Augsbourg. Il manque plusieurs feuillets entre les pages 839 et 840. La reliure en cuir, sans ornement et avec un des deux fermoirs perdus, est contemporaine du manuscrit. Sur les contreplats se distinguent les empreintes en négatif de deux documents en allemand.
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Le manuscrit réunit une collection de récits et de prières en allemand très empreints de mysticisme. Les deux premiers tiers du codex (p. 1-259) comprennent trois traductions de textes d'Elisabeth de Schönau qui se rapportent à la légende de sainte Ursule et des onze mille vierges. La légende de sainte Cordula leur fait suite (p. 260-264). Puis, à l'exception d'un extrait de texte de Mechtilde de Hackeborn (p. 295-302), les suivants sont tous des prières, la plupart adressées à la Vierge, fréquemment avec de longues instructions de prière. Le livre, entièrement rubriqué, contient deux initiales simples fleuronnées (p. 1, 162). La rubrique à la page 1 est en écriture d'apparat. Le codex possède un signet composé de quatre ficelles nouées. La reliure estampée à froid date encore du XVe siècle. Le manuscrit a été acheté par Ildefons von Arx dans le fond du couvent dissous des clarisses de Sankt Dorothea de Fribourg-en-Brisgau (note de possession p. 1 et 320 ; note d'achat p. 1).
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Le manuscrit propose une sélection de vies tirées de la Elsässische Legenda Aurea, une des versions importantes en allemand supérieur (oberdeutsch) du légendier de Jacques de Voragine. Le choix se limite aux saints de la partie d'été. La première partie du codex (p. I-64) est écrite par une main qui copie les légendes de Jean, Pierre et Paul, tandis qu'une autre main moins exercée transcrit le reste qui commence par le seul texte versifié de ce manuscrit (légende de Barbe, à partir de la p. 66). Il s'agit du seul texte à être mentionné sur l'étiquette baroque du dos. C'est également de la Légende dorée que provient le récit de « l'Engelweihe » d'Einsiedeln (p. 191-196). Dans les deux parties, les rubriques sont toutes d'une autre main. Le début et la fin du manuscrit manquent ; la reliure, restaurée au XIXe siècle, date du XVe siècle.
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Le manuscrit en papier est copié dans une cursive rapide par Friedrich Kölner, alors qu'il se trouve au monastère de Saint-Gall entre 1430 et 1436. Il contient d'abord des vies des apôtres dans la traduction allemande de la partie d'été de la Légende dorée (p. 6-269). Viennent ensuite, aussi en allemand, le sermon du franciscain Berthold de Ratisbonne, Von den Zeichen der Messe (p. 269-284), Die Legende von den Heiligen Drei Königen, composé en 1364 par Johannes von Hildesheim (p. 284-389), une Pilatus-Veronika-Legende (p. 389-400), une Greisenklage (p. 400-402), et enfin les Fünfzehn Vorzeichen des Jüngsten Gerichts (p. 402-403). D'après le Cod. Sang. 1285, p. 11, le manuscrit entra en possession de la Stiftsbibliothek dans le cadre des acquisitions de manuscrits par Johann Nepomuk Hauntinger entre 1780 et 1792.
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Le manuscrit, nouvellement relié au XVIIe ou XVIIIe siècle, contient en première partie un commentaire du deuxième livre des Decretales Gregorii IX (Liber Extra). La seconde partie du codex ne comprend que deux cahiers avec un commentaire sur le titre 26 du même livre des Décrétales. Ce codex a appartenu au moine de Saint-Gall Johannes Bischoff († 1495), qui étudia le droit canon à l'université de Pavie de 1474 à 1476. Le commentaire de la première partie de ce manuscrit est copié de sa main.
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La reliure souple renferme les quatre parties de ce manuscrit qui comprennent chacune un commentaire sur des titres ou des chapitres choisis du premier livre des Decretales Gregorii IX (Liber Extra). Les parties I, III et IV sont de la main du moine de Saint-Gall Johannes Bischoff († 1495), qui étudia le droit canon à l'université de Pavie de 1474 à 1476. Il a probablement acquis la deuxième partie pendant ses études dans cette même ville.
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Le volume ne comprend que l'interprétation en allemand du Cantique des Cantiques, dont 25 exemplaires sont connus jusqu'à présent. La structure de ce texte volumineux, qui n'a probablement pas de modèle latin, est de moins en moins systématique. Bien qu'il se fonde sur des passages du Cantique des Cantiques, il ne propose pas de commentaire à proprement parler, mais se divise en trois livres : une instruction sur la foi (Livre I, p. 8-241), une doctrine monastique sur les vertus (Livre 2, p. 241-431) et des méditations sur les péchés, la pénitence, etc. (Livre 3, p. 443-512). Le texte débute après une longue table des matières (p. 5-7). Un colophon à la fin du deuxième livre (p. 431) indique la date de 1497 comme celle de l'achèvement de cette partie du manuscrit. L'ensemble du codex est copié par une seule main et rubriqué. D'après la note à la page 1, il provient d'un couvent fribourgeois (Liber S. Galli Emptus 1699 Friburgi), que Scarpatetti suppose être celui d'Adelhausen (dominicaines). Sur un bout de papier qui y est inséré, on lit une note sur la profession de foi des sœurs Margret Boshartin, Kattrin Ferberin et Anna Branwartin de Constance en 1511 et en 1514 ; et au verso se trouve un fragment de lettre (?). Demi-reliure contemporaine avec des ornements estampés à froid et un fermoir. Un marque-page tressé bicolore est fixé au codex.
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Les deux textes principaux de ce livre de prières, probablement complété au fur et à mesure par une seule main, sont un traité de l'office divin (p. 34-224), ainsi qu'un office marial (version allemande de l'Officium parvum Beatae Mariae Virginis, p. 225-343). Ils sont accompagnés de sermons et de traités plus brefs : au début du codex, des méditations sur les souffrances du Christ, articulées suivant les sept requêtes du Notre Père (p. 1-33, la première page est manquante) ; à la fin du manuscrit, le court traité mystique Von der seligen Dorfmagd (p. 344-346), un traité fragmentaire sur les douze vertus du sacrement (p. 347-352), un sermon de Johannes Nider (p. 352-362), un autre sermon (In unser Capel die erst bredig von gehorsami, p. 363-384), ainsi que d'autres textes brefs et fragments de textes (p. 385-396). Une note du bas moyen âge (p. 390) nomme le propriétaire (das buch hadt hanns petris auch ze len). La reliure rouge du XVe siècle a perdu ses boulons et ses fermoirs ; les pages de garde marbrées témoignent d'une restauration moderne.
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Le manuscrit est entièrement copié par le moine réformé d'Hersfeld Friedrich Kölner, qui était actif au couvent de Saint-Gall entre 1430 et 1436. Il assuma notamment l'encadrement spirituel de la communauté féminine de St. Georgen. Les manuscrits qu'il a copiés, dont douze sont conservés, lui étaient destinés. C'est vraisemblablement le cas de ce petit codex très maniable. Il contient un long cycle de sermons, introduit par un prêche probablement de Rulmann Merswin (p. 2-22 : Leben Jesu / Von der geistlichen Spur), que Kölner attribue à Johannes Tauler (même association dans le Cod. Sang. 1067). Les quarante sermons suivants sont effectivement de Tauler (p. 22-557). Sous la rubrique Von der drivaltikait, on trouve un traité composite pseudo eckhardien, Von dem anefluzze des vaters (p. 134-147). Il manque les dits sur le carême de Tauler, mais Kölner renvoie à deux lettres de Johannes von Schoonhoven. Celles-ci ne sont pas conservées dans ce volume, mais en tant que traductions indépendantes de Kölner dans le Cod. M 47 du Klosterarchiv St. Katharina à Wil, un manuscrit que Kölner destinait probablement aux femmes de St. Georgen. Notre codex est copié sur une colonne, dans un module étroit, et entièrement rubriqué. La reliure sans ornement a été restaurée en 1992, alors que le corps du volume montre déjà de nombreuses réparations médiévales.
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Le volume in-folio contient un long cycle de sermons, introduit par un sermon probablement de Rulmann Merswin (fol. 1ra-5vb : Leben Jesu / Von der geistlichen Spur), qui est ici attribué à Johannes Tauler (comme dans le Cod. Sang. 1015). Les sermons suivants (fol. 5vb-235ra) sont effectivement de Tauler. Sous la rubrique Von der drivaltikait, on trouve un traité composite pseudo eckhardien, Von dem anefluzze des vaters (fol. 85va-93va) ; aux fol. 235r-241va figurent quatre lettres de Henri Suso (Lettres 3, 4, 6 et 7 du Petit Livre des Lettres), suivies d'un autre sermon. Le manuscrit est copié soigneusement sur deux colonnes, corrigé à plusieurs endroits, et entièrement rubriqué. Chaque sermon est introduit par une initiale ornée haute de cinq lignes avec des filigranes simples bleus et rouges ; quelques initiales plus grandes sont plus élaborées (par ex. fol. 190vb). La reliure en cuir du XVe siècle, estampée à froid, est bien conservée, avec cinq boulons respectivement (un seul manque à l'arrière) et deux fermoirs. D'après la deuxième note de possession sur le contreplat antérieur, le codex appartenait à la communauté des sœurs de St. Leonhard, puis de St. Georgen à Saint-Gall.
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Le manuscrit en papier contient les chroniques du bibliothécaire de Saint-Gall Jodocus Metzler (1574-1639) : la plus longue d'entre elles est consacrée à l'histoire de l'abbaye de Saint-Gall (p. 11-750), suivie de celle d'Engelberg (p. 813-825), puis de Sankt Johann dans la vallée de la Thur (p. 829-840), et enfin par un catalogue des abbés de Saint-Magne de Füssen (p. 845-848). Cette copie a été réalisée par le conventuel de Saint-Gall Marianus Buzlin en 1613, tandis que les notes marginales sont de la main de Metzler. Une enluminure en pleine page sur parchemin ouvre le manuscrit (p. 13) : dans les marges latérales figurent les saints Gall (à gauche) et Otmar (à droite), au bas de la page sont représentées les armes de l'abbé Bernhard Müller (1594-1630), alors que le fond peint en bleu qui aurait probablement dû accueillir le titre est resté vide à l'exception d'ornements dorés dans les angles.
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Copié après 1540 (date déduite de la mention de consécration de la chapelle des saints Fabien et Sébastien à la p. 6) par l'organiste et scribe de Saint-Gall Fridolin Sicher (1490-1546), ce manuscrit contient les deux premières règles du Directorium perpetuum. Son contenu est presque entièrement identique au Cod. Sang. 533, qui est le premier d'une série de sept volumes commandités par l'abbé Franz von Gaisberg (Cod. Sang. 533-539). Réalisé une vingtaine d'années plus tard, le Cod. Sang. 532 est le seul volume de la deuxième série qui, soit n'a jamais été achevée, soit dont les autres volumes ont été perdus. Une décoration avait été prévue, mais elle n'a jamais été exécutée (p. IV, 56 pour des pleines pages, et p. 1, 57 pour des initiales). Par analogie avec la première série, on peut supposer que les armes et le portrait de l'abbé commanditaire – probablement Diethelm Blarer (1530-1564) – auraient pu y être figurés.
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Le manuscrit en papier, remontant à la deuxième moitié du XVe siècle, contient trois vies de saints rédigées en allemand: saint Benoît (p. 1-57), saint Gall (p. 63-294) et saint Otmar (p. 299-372). Si la première de ces trois vies est la version allemande tirée des Dialogues du pape Grégoire Ier, les deux suivantes ressemblent, du moins partiellement, aux traductions du bénédictin Friedrich Kölner. Les textes sont soigneusement copiés sur une colonne par un seul scribe et ornés d'initiales simples peintes en rouge. La reliure en cuir brun, datant du XVe/XVIe siècle, est estampée à froid. Cet exemplaire appartenait au plus tard au XVIe siècle à la communauté des frères lais du monastère de Saint-Gall (p. 374).
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Le volume est constitué de la réunion de deux parties copiées indépendamment l'une de l'autre à des périodes différentes. La première partie (p. 1-158) comprend les trois premiers livres des Sentences de Magister Bandinus (p. 1-154), auteur d'un abrégé de l'ouvrage éponyme de Pierre Lombard (Libri quatuor sententiarum). A la place du quatrième livre se trouve ici un bref traité sur les femmes, De muliere forti (p. 154-158). Cette copie a été réalisée par plusieurs mains au XIVe siècle. La deuxième partie (p. 159-234) de ce codex contient un traité sur le baptême, datant du XIIe siècle (p. 160-234). Etant donné la présence du timbre de l'abbé Diethelm Blarer (p. 158), la première partie devait se trouver dans la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Gall depuis le milieu du XVIe siècle. Ce manuscrit en deux parties reçut sa reliure en carton actuelle probablement vers la fin du XVIIIe ou au début du XIXe siècle, au moment où Ildefons von Arx y inscrit la table des matières (p. V1).
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Le manuscrit sur papier contient tout d'abord une série d'ébauches de sermons datée par le colophon de 1381 (p. 80). De la même main que précédemment, suivent une copie partielle du Liber scintillarum de Defensor de Ligugé (p. 80-96), des miracles (p. 96-108) et un index (p. 108-110). Une autre main copia le livre IV du De doctrina christiana d'Augustin avec de nombreuses annotations marginales (p. 113-162). Viennent ensuite, probablement par la main du moine itinérant Gall Kemli († 1481), l'interprétation sur les ancêtres du Christ d'Aileranus Sapiens (p. 163-168), ainsi que des extraits de textes théologiques, dont le Mammotrectus du franciscain Johannes Marchesinus.
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Le manuscrit contient les Sentences de Magister Bandinus, auteur d'un abrégé des Libri quatuor sententiarum de Pierre Lombard. Comme le remarque Ildefons von Arx (p. 1), le texte est identique à celui du Cod. Sang. 769 à l'exception du quatrième livre consacré, comme celui du Lombard, aux sacrements (pp. 147-186). Copié sur deux colonnes, rubriqué et orné de simples initiales rouges en tête de chapitre, le texte a été revu, corrigé et complété par des ajouts.
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Le manuscrit se compose de différentes parties et comprend plusieurs textes de contenus divers. La première partie (p. 1-106), en papier, contient un livre synodal (p. 1-81), ainsi que les Auctoritates sanctorum (p. 82-105) qui, d'après le colophon (p. 105a), ont été copiés par Johannes Gaernler en 1378 ou 1379. Sous le colophon se trouve un dessin, peut-être exécuté par le copiste, qui représente un homme (un roi ?) tenant une coupe en main. Suivent plusieurs cahiers en parchemin (p. 107-224) avec des sermons, des dispositions relatives à la pénitence, etc., datant en partie du XIIIe siècle et en partie du XIVe siècle. La fin du manuscrit, en papier (p. 225-471), comprend à côté du pénitentiel de Johannes de Deo (p. 284-315), des sermons, des textes ascétiques et théologiques (p. 316-471), qui ont été copiés au XIVe siècle. Selon une note de possession (p. 471), le manuscrit ou la dernière partie de celui-ci se trouve au plus tard à la fin du XVe siècle à l'abbaye de Saint-Gall. La reliure souple présente un beau motif d'entrelacs sur le dos.
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Le manuscrit est un exemplaire complet des quatre livres des Sentences (Libri quatuor sententiarum) de Pierre Lombard (p. 4-430), précédé et suivi d'une série de vers latins, en partie en hexamètres léonins (p. 3 et 430-431). Cette copie soignée du XIIIe siècle, sur deux colonnes, est entièrement rubriquée. Les noms abrégés des auteurs cités dans le texte sont également copiés en rouge dans la marge. Les citations sont parfois signalées par un long trait vertical rouge, quelquefois terminé par un fleuron. Le prologue (p. 4a) et les quatre livres des Sentences (p. 8b, 126b, 237a und 315a), ainsi que les tables de chapitres des livres II et III (p. 123a et 235a), sont introduits par une élégante initiale ornée rouge, ou bicolore rouge et noire. Le manuscrit possède une reliure en bois du XVe siècle, typique de l'abbaye de Saint-Gall.
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Le manuscrit transmet des sermons pour l'année liturgique et a été copié par une main régulière dans une minuscule gothique du XIIIe siècle. Il est incomplet au début et à la fin. Les sermons, numérotés dans la marge supérieure, vont de VII (Dominica iiii. in quadragesima) à LXXXVIII (In vigilia epiphanie domini). Au début de chaque sermon se trouvent une simple initiale rouge hautes de deux lignes et un titre rubriqué indiquant le jour où le sermon devait être lu. D'après le timbre de l'abbé Diethelm Blarer (p. 410), le manuscrit est présent dans la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Gall au plus tard depuis le milieu du XVIe siècle. La reliure en carton, recouverte de parchemin blanc et munie de rubans de soie verte en guise de fermoirs, date du XVIIIe/XIXe siècle.
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La plus grande partie de ce manuscrit comprend des sermons copiés sur deux colonnes par plusieurs scribes (p. 1-144). Les différentes homélies sont parfois introduites par des rubriques et de petites initiales alternativement bleue ou rouge avec des filigranes. La dernière partie (p. 145-157), de plus petite taille (19 x 17 cm) et copiée en majeure partie sur une seule colonne, contient des vers léonins et des dictons versifiés. En possession de la bibliothèque de l'abbaye de Saint-Gall au moins depuis le milieu du XVIe siècle (cf. timbre de l'abbé Diethelm Blarer p. 120), le manuscrit est nouvellement relié au XVIIIe/XIXe siècle dans une reliure de parchemin blanc collée sur du carton, avec des lacets de soie verte.
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Les Pontiques d'Ovide sont l'unique texte de ce manuscrit copié en minuscule gothique par une seule main au XIIIe siècle. Regroupées en quatre livres dans les éditions modernes, les 46 lettres, des élégies poétiques liées à l'exil du poète à Tomis, se suivent ici sans interruption. Des initiales simples peintes en rouge les distinguent les unes des autres jusqu'à la p. 66 ; par la suite, il n'y a que des espaces réservés pour des initiales non réalisées. En plus de maniculae le long des marges, il y a de nombreuses gloses, interlinéaires ou marginales, qui datent plus ou moins de la même époque que la copie.
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Le manuscrit en papier se compose de cinq parties codicologiques, dont les textes ont été copiés par une ou plusieurs mains au cours du XVe siècle. Les textes les plus longs sont le Tractatus de vitiis capitalibus, à attribuer probablement à Robert Holcot, la Stella clericorum, le Dialogus rationis et conscientiae de Matthieu de Cracovie et le Dialogus de celebratione missae de Henri de Hesse. Pour le reste y figurent des textes plus brefs, dont des sermons, des enseignements spirituels, des traités astrologiques et médicaux. En plus s'y trouvent de nombreux documents se rapportant au concile de Constance (1414-1418), qui traitent du procès de Jean Hus et de la question de la communion sous les deux espèces.
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Ce volumineux manuscrit en papier a été copié par Gallus Kemli († 1480/81) entre 1466 et 1476 environ. Il contient des outils, des compendia et des sommes de théologie, de droit canon, de liturgie, de confession et de pénitence, puis encore des prières et des chants en notation allemande du plain chant (« Hufnagelnotation ») pour la messe, un rituel et, enfin, d'autres prières, bénédictions, sermons et exhortations, en partie en allemand et en partie en latin. Le manuscrit possède une reliure souple avec une couverture en cuir rouge. Le moine saint-gallois Gallus Kemli, qui eut une vie errante hors du couvent, laissa à sa mort une importante collection de livres.
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La reliure souple renferme un manuscrit en dix parties dont les textes ont été pour la plupart copiés par le moine de Saint-Gall Johannes Bischoff († 1495) pendant ses études de droit canon à l'université de Pavie de 1474 à 1476, et dont une petite partie des textes a été achetée dans cette ville. On y trouve des commentaires sur des titres des Decretales Gregorii IX (Liber Extra), du Liber Sextus et des Clementinae, des traités sur la procédure judiciaire, la torture, le droit successoral et d'autres sujets, un ouvrage de référence sur la doctrine morale, classé par ordre alphabétique, ainsi que la disputatio publique de Johannes Bischoff.
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Un feuillet d'un recueil d'homélies, probablement en deux volumes, provenant du couvent des dominicains de Berne qui ont été utilisées, vers 1495, par le relieur Johannes Vatter comme feuilles de garde de divers incunables aujourd'hui à Berne et à Soleure. Après la suppression du couvent en 1528, le volume hôte est vraisemblablement entré en possession de la famille Sterner à Bienne, puis de la librairie ancienne Max Müller à Berne (BBB Mss.h.h.XXXIV.35).
En ligne depuis: 14.07.2021
Un feuillet d'un recueil d'homélies, probablement en deux volumes, provenant du couvent des dominicains de Berne qui ont été utilisées, vers 1495, par le relieur Johannes Vatter comme feuilles de garde de divers incunables aujourd'hui à Berne et à Soleure. Après la suppression du couvent en 1528, le volume hôte est vraisemblablement entré en possession de la famille Sterner à Bienne, puis de la librairie ancienne Max Müller à Berne (BBB Mss.h.h.XXXIV.35).
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Importants restes d'un recueil d'homélies, probablement en deux volumes, provenant du couvent des dominicains de Berne qui ont été utilisés, vers 1495, par le relieur Johannes Vatter comme feuilles de garde de divers incunables aujourd'hui à Berne et à Soleure. Après la suppression du monastère en 1528, les volumes-hôtes sont probablement entrés en possession de la bibliothèque de Berne par le biais du legs libraire du banneret Jürg Schöni en 1534. Les fragments ont été retirés des volumes-hôtes par Johannes Lindt vers 1945.
En ligne depuis: 14.07.2021
Importants restes d'un recueil d'homélies, probablement en deux volumes, provenant du couvent des dominicains de Berne qui ont été utilisés, vers 1495, par le relieur Johannes Vatter comme feuilles de garde de divers incunables aujourd'hui à Berne et à Soleure. Après la suppression du monastère en 1528, les volumes-hôtes sont probablement entrés en possession de la bibliothèque de Berne par le biais du legs libraire du banneret Jürg Schöni en 1534. Les fragments ont été retirés des volumes-hôtes par Johannes Lindt vers 1945.
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Trois feuillets de grand format d'un manuscrit des Instituta coenobiorum de Jean Cassien réalisé dans l'est de la France. Le fragment, qui provient probablement d'une reliure médiévale, parvint à Berne en 1632 dans le fonds de Jacques Bongars.
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Bifolio d'un manuscrit des Homiliae in Evangelia de Grégoire le Grand. Le fragment parvint à Berne en 1632 avec le fonds de Jacques Bongars.
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Un feuillet d'un manuscrit des Satires de Juvénal provenant de la bibliothèque de Fleury. D'autres parties se trouvent à Orléans, BM 295 ; Vatican, BAV Reg. lat. 980, f. 42 et Leiden, Voss lat. F.12. Le fragment parvint à Berne en 1632 avec le fonds de Jacques Bongars.
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